Île de Pâques... avouez que pour un post du 15 avril...

HJ: ben... on a quelqun qui cite tous le monde dans je ne sais quel but. Et quelqun qui râle derrièr ele mur de votre prison...

La voix te paraît déformée par la cloison de pierre.

Ici jeune sot, tu es dans un endroit ou le cosmos n'a pas prise. c'est cette saleté de sphère là. c'est avec ça qu'ils m'ont eu! Et ne pensez pas que mon abrupti d'aprenti fera quelquechose! Alors là c'ets chose perdue!

Reprendre contact avec la réalité.
Le cosmos n'a pas prise?
Pas de sa faute.
Ce n'est pas le Phoenix qui refuse... tout le monde est dans le même sac.
Se calmer. Se raisonner.


Görn se relève, lentement, froidement. Il pose un regard lourd comme une menace sur son environnement immédiat.
Alors comme ça, ses geôliers n'ont rien trouvé de mieux à faire pour le tenir enfermé que l'isoler du Cosmos. Il n'est donc plus le Chevalier du Phoenix mais juste Görn. Cette saleté de crevure de Görn. Celui que craignait la moitié du port d'Athènes. L'incontrôlable boule de haine et de soif de revanche envers la vie. Ce Görn qui se fait même tellement peur à lui-même qu'il fut saisi d'une panique aveugle lorsqu'il se réveilla.
C'est donc ça que ses ennemis veulent avoir en face d'eux? Soit. D'accord. Ca risque d'être amusant.

Un sourire malsain déchire la face de Görn. Il se met debout, le dos courbé, dans une attitude tellement animale qu'elle dénote avec son apparence précédente.

"Okay, l'ancêtre. Tu aimes le silence? Alors on va faire simple: tu craches d'un seul coup tout ce que tu sais de notre situation puis on passera en mode "mute", si tu ne collabores pas, je serai le premier prisonnier de l'histoire de l'humanité à ne sortir de sa cellule que dans le seul but de passer dans celle du voisin. Et ce ne sera plus pour faire causette... Alors, que sais-tu de cet endroit? Es-tu toi aussi un Chevalier comme le laisse supposer tes propos? Qui nous a fait ça et depuis combien de temps es-tu là?"

La voix derrrière le mur devient furieuse.

" Quoi, quoi? Je suis l'entraîneur du chevalier divin d'Eta jeune idiot! Et si j'étais en mesure de le faire, je passerai outre ces mur et on verrai qui ici a des soucis à se faire pour sa santé! Non mais! Alors écoute bien: nous sommes dans les cavités naturelles sous l'île de Pacques. Je suis ici depuis surement plusieurs semaines. Depuis des semaines ils me torturent pour que j'entraîne leur champion! Pffff, ils peuvent toujours attendre. Tous des imbéciles sans aucun respect pour leur ainés. et..."

" ...encore toi? Déguerpi petite insolente! Enfant gâtée! Petite peste!"


Vous voyez la petite faire une apparition timide face à la cellule, poursuivie par une pierre venant de la cellule voisine.

Görn n'attend même pas les derniers mots du Chevalier du Cygne: il se rue à la vitesse la plus haute qu'il puisse atteindre sur les barreaux de la cellule, en sort les bras et tente d'attraper l'enfant.

- S'il parvient à la choper, il lui murmure à l'oreille: "Ecoute, ma belle, je ne suis plus d'humeur à rigoler. Quelle que soit la manière, je serai sorti dans les cinq minutes de cette cellule. Si tu te préoccupes un tant soit peu de ta santé, tu t'arrangeras pour que ce soit en partie grâce à toi. Si tu ne nous aides pas, cette foutue île ne sera pas suffisante pour te planquer de moi!"
- S'il échoue, il lui crie, rageur: "Ecoute, gamine, j'en ai plein le dos de ton plan gentille-petite-muette-traumatisée. Aide-nous à sortir d'ici et j'aurai une dette envers toi que je te rembourserai au centuple, parole de Chevalier!".

Il s'écarte ensuite de la grille et hurle à pleins poumons: "Je ne supporte pas d'être enfermé alors si les crétins qui ont osé me faire ça ont besoin d'un formateur pour leur champion, je suis volontaire. Mais il faut qu'il aime apprendre à la dure, parce que je ne suis pas une chochote qui foudroie en traître un Chevalier sans armure, moi! D'où je viens, on se mesure les yeux dans les yeux!"

Görn semble ignorer magistralement Liwong et continue à vociférer à l'encontre de ses geôliers, les défiant de le choisir plutôt que "l'autre épave d'à côté", tel qu'il qualifia le vieux maître....

"la vieille loque" recommence ses vociférations à ton égard. tandis que la gamine recule appeurée. Des pas se font entendre dans le couloir. Deux hommes, fouets en mains s'avancent. ils ricanent en vous voyant tandis que la gamine disparaît dans un coin.

Il semble que sans le cosmos on fait moins les malins. Ingénieuses non ces sphères? Nous ne sommes pas un peuple d'alchimistes pour rien.

Et dit, il semble que le gros grillé n'est pas sage! Ca te dis d ele calmer? A armes égales bien sur! Sans son cosmos!

Ils font claquer le fouet dans leur mains et s'aprochent de la porte. ils ouvrent celle-ci et se présententface à vous, armés de leurs fouets.

C'est pas possible! C'est Noël! Ces imbéciles laissent la grille ouverte derrière eux!
Et ils espèrent arrêter un type comme moi avec un fouet? Ils ont le cristallin opaque ou quoi? Enfin, ne gaspillons pas notre chance, pour une fois qu'elle sourit.

"Okay, pauvres daubes. Vous avez envie de passer vos frustrations d'êtres inutiles sur un surhomme affaibli, hein? Frappez à gauche, alors... le côté droit est insensible."

Görn écarte grand les bras dans la posture d'un martyr avec un éclat mauvais dans les yeux.
Une seule idée lui trotte dans la tête: le premier qui me touche, je l'attire à moi et l'écartèle de mes mains!
Ouais... mais... la grille?
Le second de ces idiots va se ruer sur la grille et la refermer. Liwong aura-t-il la présence d'esprit de l'arrêter? Non, pas possible de jouer ma liberté sur ce gars... Alors, il reste bien une solution... ça marche toujours dans les films...

"Et puis non, pas question!"
Görn tourne le dos à ses attaquants, fait un clin d'oeil à Liwong et l'invective:
"Merde, Liwong! T'étais pas foutu de me récupérer ou de t'arranger pour récupérer mon armure, au moins... mais tu sers à quoi, espèce de ringard? Ca commence à me chauffer de devoir tout faire ici. Et en plus, les coups de fouets, ça va encore être pour ma pomme. En me voyant torse nu, t'as pas l'impression que j'ai déjà bien assez morflé, non? Marre, je vais t'éclater!"
Gorn attrape Liwong à bout de bras, effectue une rotation et le projette de toutes ses forces sur les deux gardes un peu distraits par la dispute... A peine Liwong lancé, Görn se rue sur les deux gardes et frappe comme une brute les points les plus fragiles de l'anatomie humaines: articulations, os fins, gonades... hum... enfin vous voyez, quoi!
Un seul objectif: les réduire en morceaux. Görn a du mal à connaître la compassion quand la noblesse du Phoenix ne l'habite plus.

(HJ: J'imagine que le mdj a son mot à dire quant au résultat de mon jeu de massacre. Si ça se trouve, je vais me faire mettre la tête en kit. Attendons un peu, ok, Liwong?)

L'action se passe exactement comme vous l'avez décrite. Sauf que les deux garde sont plus habiles au combat qu'il n'y paraît! Gorn en amoche bien un des deux, mais l'autre est rapide et parvient à te glisser des bras et à te flanquer un violent coup de pied dans les côtes. Sous le choc, ton étreinte sur l'autre diminue.

Tu sens que si tu veux stoper l'homme déjà debout, il te faudra relacher l'autre ce qui te place dans une position délicate.


Alors que gorn est enfermé, Liwong sent une petite traction sur son bras. C'est la gamine qui lui montre le fouet tombé proche de la grille au cours de la bataille.

Yes! Notre camp reprend le dessus. La peur est notre alliée, jouons là-dessus.
Görn roule au sol un peu à l'écart du garde debout, et, en une ultime rotation latérale au sol, abat son coude à toute vitesse sur les vertèbres cervicales du malheureux garde encore à terre.
"A deux contre un, ça te tente, minable?"

Le garde te souris, l'air mauvais. Pour toute réponse il s emet à hurler.

Evasion! Evasion!


Le viellard reprend ses sarcasmes.

Et aucun de ces crétins ne va enfin nous débarasser de cette sphère! Mais il attendent quoi les deux jeunes idiots! C'est bien les jeunos ça! Ca frappe, mais ça ne réfléchis pas!

Au mot "vieux", une série d'insultes volent de la part du dit vieil homme.

La petite secoue frénétiquement la tête de haut en bas pour somme de réponse tandis que le garde continue de s'égosillier.


(hj: et on va attendre gorn)

(hj: et Görn de répondre! )

"Bonne idée, sac à morve... appelle tout le monde et rameute tes copains, je me sens d'humeur à en bouffer une quinzaine."

Görn flanque un retentissant coup de boule de bas en haut au garde avec la ferme intention de lui enfoncer le nez de plusieurs centimètres dans le cerveau.
Quel que soit le résultat de l'action, il enchaînera en prenant les clés de la cellule et en rejoignant Liwong dans le couloir.
Une fois les gardes enfermés, le trio (deux et demi, c'est un trio?) se mettra en quête d'une solution pour retrouver leurs pouvoirs.

"Bon. Liwong, cherche cette sphère avec la mioche. Moi, je te couvre. J'ai comme des envies d'homicide. Hèhèhè."

Le garde est assomé sous le coup. Ses yeux se révulsent et il s'écroule lourdement.

Une fois dehors de la cellule, toute une série de song arrive à vous. La scène devient chaotique.

Des bruits de pas et des cris de fureur arrivent vers vous dans un brouhaha gigantesque. (il faut dire que la sonorisation est mauvaise)
le vieillard continue de vous insulter.

Il vont attendre encor elongtemps avant d'éclater cette sphère le sdeux guignols? Et on s'étonne que tous le monde attaque le sanctuaire! Bande de moules! Fiandes de reine! Gigolos!

La gamine part se cacher dans un coin sombre, celui d'où elle est sortie.




(hj: dans cette ambiance tourmentée, que faittes-vous?)

(hj: je rappelle juste qu'il y a une sphère devant la cellule, à un mètre de toi)

Corniauds!
Görn envisage la sphère puis l'attrape à deux mains et l'éclate de toutes ses forces en hurlant sur le crâne de celui des deux gardes qui semble lui paraître encore un peu en vie... tant qu'à frapper, autant frapper utile, non?
"C'est parti, mon Liwong, fricassée de boyaux et rissolée de viscères au menu!"
La Mort sera notre alliée, la souffrance notre arme et la soif de vaincre notre compagnon de route! Ignorons la peur, nous sommes Chevaliers. Avec ou sans armure, avec ou sans cosmos... Nos poings sont les glaives de l'aveugle justice et, où qu'ils frappent, ils réduisent à néant l'immonde et le parjure!