Île de Pâques... avouez que pour un post du 15 avril...

Hellspawn, sur le navire qui devait l'emmener vers sa destination lointaine, passa son temps à questionner de manière anodine les ingénieurs à bord sur les causes possibles des nombreuses pannes électriques constatées ces derniers temps sur l'Île...
Il espérait qu'un indice ou l'autre pourrait lui mettre la puce à l'oreille pour trouver un point de départ à ses investigations.

(total hj : il est vrai que la tu fais fort . Pour les ennemis rencontrés, je dirais les chevaliers du lapin, de la cloche et peut etre de l'oeuf aussi )

(HJ: bon courage mon ami....parceque vu comment on se fait torturer à plusieurs...seul et avec une armure de bronze..."you got balls!!!" )

(hj:c etait un brave chevalier qui nous a quitter en mangeant trop de chocolat )

(Bon, le floodeur en série... j'aimerai pouvoir mettre un peu de RP là. LOL. non non, ils savent que je déconne.)

Les techniciens, une équipe composée d'un solide gaillard baraqué et d'un informaticien obèse sont fort portés à la discussion. Il pensent simplement à une erreur de matériel. surement au niveau de l'antenne relai ou du générateur principal. C'est danny (l'informaticien) qui a la langue la mieu pendue:

Ouai, on y va, on fait une petite soudure par-ci par là. Puis le temps de jetter un oeil aux nanas du coin et on rentre.


Lake (le baraqué)
ouai, t'as pas plus de chance avec elles qu'avec la haitiennes de la fois passé. Et encore, là il y avait mama guirla... un joli petit lot de 130 kilo que notre cher Dany a refusé par goût du luxe et...

Dany agacé:
va creuver lake!


Comme tu le vois, l'ambience est bon enfant. Le navire quand à lui n'est pas très grand. Le capitaine et les trois hommes d'équipages semblent être trois paumés de la mer s'adressant à vous trois qu'en grognant.


(Hj: par rapport à ton physique, tu le cache? Et tu portes ton armure ou pas? Jusqte quelques détail techniques. LOL)

Gorn était bien loin maintenant des considérations matérielles et c'était la tête nue et l'armure en bandoulière dans son urne qu'il allait à la découverte des mers. Constament sous tension, il était prêt dans la seconde à ne faire plus qu'un avec l'oiseau mythologique mais avait tenu à s'en défaire pour se convaincre que cet état de hargne brûlant venait bien de lui et non de son armure...
Il passait le plus clair de son temps à la proue, les yeux fixés au loin, comme pressé de mettre pied à terre...
Bien sûr, il était probable que l'on reconnaisse en lui un Chevalier mais que lui importait à présent? Cramponné à son objectif, il scrutait l'horizon et ayant vite jugé que rien d'intelligent (ou même intelligible pour certains) n'émanerait de ses compagnons de voyage, il se préparait seul, mentalement, à acceuillir la mort.
Gorn n'était pas fou... il avait compris les paroles du Grand Pope et il était évident que les dangers qui l'attendaient étaient multiples et extrêmement... disons... mortels!
Mais si la mort devait le cueillir, elle le ferait en plein combat.
Et si la mort devait le cueillir en plein combat, le Phoenix ne l'accepterait pas et lui offrirait la possibilité de revenir à la charge. Encore et encore et encore... jusqu'à ce que la divine justice d'Athéna immole ses opposants sous les flammes de l'oiseau de feu.
Il ne priait pas pour vaincre tant que sa Déesse lui prêterait vie mais bien à force que sa Déesse lui prète vie!
Qu'importait son manque d'expérience. Si'il le fallait, il se ferait une expérience à force de résurrections face à l'ennemi qui l'attendait.

Cette certitude de retrouver la vie après le trépas faisait de lui le premier porteur de l'armure du Phoenix à en intégrer la plus surprenante capacité avant même de l'avoir expérimentée et le liait à elle plus avant!

Pour une fois, il se sentait en accord avec ses actes: il allait se consummer dans une action suicidaire et s'exposer sans doute aux pires menaces mais c'était son choix et jamais il ne le regretterait!

Alors que es sensé t'aprocher de l'île, un brouillard épais se lève accompagnant une nuit sombre. Tous, sur le bâteau vont se coucher à part le capitaine qui reste à la barre accompagné de deux hommes d'équipage.
Lake vient toutefois te rejoindre sur le pont.

Ton pieu t'attend mon pote. mais au fait, tu ne nous a pas dis ce que tu viens faire sur cette île paumé. C'est une rupture ou un truc du genre qui t'a fait tout lacher?

Se retournant vers Lake avec le rictus effrayant qui lui faisait office de sourire, Gorn lui lança sur le ton moqueur d'un début de conversation badine:
"C'est sympa à vous de songer à une rupture, ça me laisse croire que vous avez la naïveté d'imaginer qu'avec ma tronche je peux avoir une relation."
Un rire sincère retentit dans la brume. Gorn aimait bien ces conversations sans but... les bars d'Athènes avaient été une excellente école pour ce genre d'exercice.
Il désigna du pouce l'écrin de l'armure à son dos et demanda:
"C'est un voyage officiel... ce genre de boîte ne vous dit vraiment rien?"

Lake observe l'urne en fronçant les yeux avant de les ouvrir grand.

Ho put... Et merde alors! Tu veux dire que c'est une vrai? Je pourrais prendre un photo avec toi quand tu la porteras? Ho put*** de put***, je dois aller raconter ça au gros!

Il se presse vers l'interrieur en direction de sa cabine et quelquechose te dis que si tu veux avoir la paix cette nuit là tu ferai bien de l'immiter. L'île de Pacques est toute proche ainsi que les éventuels dangers qui s'y trouvent.

Un rien amusé par cette réaction si naturelle, Gorn ne peux s'empêcher de se dire qu'il l'aura, sa photo... après tout, il était un peu collant mais d'amusante compagnie!
Après quelques baîllements sonores, il me décide à aller jusqu'à ce qu'on lui a désigné comme étant sa cabine auparavant et s'étend sur le lit. Prudent, il laisse dépasser ses pieds du lit et les repose sur l'urne... vieille manie de l'orphelinat: ne dormir que d'un oeil et toujours garder contre soi ce que l'on a de plus précieux... au cas où d'aucun le convoiterait.
Il doute de trouver le sommeil mais au moins la station couchée et le confort relatif de la pièce lui permettront-ils de se reposer un peu...

Alors que loin de trouver le sommeil, tu ressens un grand choc qui secoue tout le bateau. De là où tu es tu ne peux rien percevoir, mais tout te porte à croire que la bateau a heurté quelque chose.
La cabine se penche légèrement faisant rouler sur la droite la plupart des objets qui y séjournent.
Ton lit lui-même glisse lentement avant même que tu ai eu le temps de réagir. Tu as même l’impression que le bateau penche de plus en plus. A voir le hublot, il fait encore nuit noire.

Un soupir lourd de sens semblant signifer "Ben voyons!", une impulsion du côté des reins et Gorn est debout. Ca tangue drôlement.
Prévoyant, il endosse son armure pour se protéger en cas de gros danger naturel ou non et sort de sa cabine d'un pas décidé. Une lassitude contenue se lit sur son visage...
"Tu vas voir qu'avec ma chance on va couler corps et biens avant même d'être arrivés!"
Seul dans la traverse, il invective le sort et maudit sa situation en marchant d'un pas rapide vers le poste de pilotage où il espère bien trouver quelqu'un à la barre... ce serait un minimum!
Des doutes commencent à peine à s'immiscer en lui quant à la nature des événements que déjà son aura illumine le couloir et c'est auréolé de la gloire du Phoenix qu'il pénètre dans le poste de pilotage, tendu, prêt à découvrir à peu près n'importe quoi:
"Qu'est-ce que c'est que ce merdier?"

Lorsque tu pénètre dans la cabine, tu apperçoit le vieux capitaine à la barre imperturbable. Mais t'aprochant un peu, tu peux te rendre compte qu'il est... mort. Pas blessé et sans aucune trace de coup. Son visage est neutre, comem s'il ne s'était pas rendu compte qu'il mourrait. A ses pied, le premier matelot est dans le même état.
tout est brumeux, on y voit pas à 5 mètres par les fenêtres de la cabine. tout te laisse croire que tu es en effet en train de couler mais que ce que vous avez percuté est un récif.

Görn est effrayé à la vue de ces deux victimes innocentes mais sait qu'il ne peut plus rien pour eux... il ne saura les inhumer dignement, il faudra bien que ces mers soient leur tombeau... il espère juste ne pas être la cause indirecte de leur mort.
Sans grand espoir, il pousse le corps du capitaine et attrape la barre du navire afin de voir s'il est encore possible de manoeuvrer ou si tout espoir est perdu de ce côté-là.
"Athéna, bon sang, faites au moins que j'aie une petite chance d'essayer d'accomplir ma mission. Je ne suis pas devenu Chevalier pour que ça finisse comme ça!"

En chipotant à la barre, tu te rends compte que le bâteau, plus que de couler, est en partie échoué et que le mieu que tu puisse faire est de l'allonger de côté sur ce qui semble être la plage.

Les autre soccupants du navire ne donnent pour l'instant aucune trace d'activité.

(bon, pas fait terrribe comme rp là; à peine 5 lignes... snifffffffffff je deviens encor eplus mauvais)

Görn s'empresse de "coucher" le navire sur la plage et se précipite au dehors de la salle des commandes.
Il est à la recherche de Dany et de Lake, les deux techniciens... sans doute doivent-ils eux aussi se trouver dans une situation inconfortable... il se doit de les aider!
Après tout, rien ne le presse de mettre pied à terre, il a stabilisé le bateau en l'échouant, il peut bien prendre soin de ces deux individus avant de chercher la cause de tout ces ennuis.
"LAAAAAAKE! Montrez-vous! DANY?"
Conscient de l'obscurité ambiante, Görn fait flamboyer autour de lui sa cosmo-énergie afin de servir de phare à ses deux compagnons d'infortune s'ils le cherchaient dans les coursives.

Lorsque tu entre leur cabine, tu as, l'espace d'un instant l'impression qu'elle est vide. Mais sur le lit, deux boules, un de belle taille et l'autre à peine recouverte par les draps te laissent deviner ce que font tes compagnons.

Lake sort la tête de sous les draps encore tremblant.

On n'est pas mort? Et Dany, je t'avais dis que c'étit un chevalier, fallait pas flipper!

La plus imposante des boules reprend alors forme humaine.

Tu parles! Le choc qu'on a eu... en plus je rêvais qu'une superbe gonsesse me rejoignait dans ma cabine et...

Lake: on s'en fout Dany!


(Hj: et oui, certains pnj sont parfois un peu... bon, mais il en faut quoi!)

"Vos gueules, les gars! On est en plein naufrage, là et on a intérêt à se magner parce que je ne sais pas combien de temps la coque du bateau résistera à l'effet de torsion... On va mettre pied à terre, bougez vos fesses et suivez-moi."
Pour qu'ils ne traînent pas, je m'engage déjà dans le couloir mais y avance suffisament lentement pour qu'il me rattrapent et me suivent (peu m'importe s'ils sont en pyjama!).

Mon intention première est de les avoir près de moi... je suis sans doute le plus apte à nous protéger de ce qui a tué l'équipage.

"Ne me quittez pas d'un pas, le coin est dangereux..."

Toujours illuminé par mon cosmos (parce que ça impressionne les "moldus" et que ça les encourage sans doute à me suivre), je cherche un moyen sûr d'amener les deux compères en sécurité sur la terre où nous nous sommes échoués.

HJ: Je pense à remonter sur le pont et tenter de rejoindre le sol par une des échelles d'abordage (s'il y en a...) ou même à crever la coque du navire côté terre d'un bon blast de cosmos si besoin... mais jusque là, le RP ne m'a pas permis de savoir comment sortir du bateau le plus facilement...
Suis donc en attente de données...

(ok ok, je voulais pas dire la situation à l'extérieur tout de suite. c'est pour renforcer l'impression d'être dans une purée de poids. LOL)

Descendre ne pose pas de soucis. Des échelles de cordes sont disposées à mi hauteur du pont et vous permettent de débarquer sur une plage de sable humide. A votre gauche, les rochers sur lesquel le bâteau s'est échoué. A votre droite, la brûme issondable et menaçante. un peu plus haut, une statue tribale en forme de visage est tournée vers la mer. elle doit faire plus de six mètres de haut.

Lake, avant de descendre, jette un pacquet orange fluo par dessus bord.

C'est une tente de survie comme celle qu'on peut monter au dessus d'un radeau pneumatique. On va pouvoir passer la nuit au sec car là on ne voit rien!

"C'est pas idiot, Lake! Merci d'avoir eu cette idée... dis, on est arrivé à destination ou je me trompe? T'as vu la tronche de ce gus de pierre? On est au bon endroit, non?"
Gorn se sent un peu rassuré. Mne de rien, pendant un temps, il a songé à un horrible piège les faisant échoué sur une île oubliée de tous mais ce genre de tête... c'est tout à fait le type de truc qu'on voit sur l'île de Pâques... enfin, d'après ce qu'il en savait.
Après avoir assisté les deux techniciens dans leur descente et éludé par des périphrases toute allusion au sort de l'équipage afin de ne pas les effrayer, il se permit de demander aux deux hommes d'improviser un campement de fortune au pied de la statue pendant qu'il jetait dessus un coup d'oeil inquisiteur.
Il avait décidé d'agir ainsi afin d'occuper ses compagnons car il n'imaginait que trop bien à quelle panique pourrait se heurter un cerveau normal après un naufrage sur une île inhospitalière en compagnie d'un Chevalier d'Athéna se revendiquant du Phoenix, tout paré d'armure et au visage plus mutilé qu'un cadavre de buffle après le passage d'une colonie de fourmis carnivores... le mot d'ordre était de les occuper puis de les rassurer. Après tout, s'il avait prêté serment de Chevalerie, c'était avant tout un serment de protection de la Terre et de ses habitants! L'enquête sur les causes du naufrage attendrait bien la lumière du jour... à moins que la situation ne précipite les choses...

Le campement est vite monté. Lake et Dany, peu rassurés au départ, semblent tomber d'accord sur un empoisonement de l'équipage.

Dany: Ouaip! Je suis sur que c'ets la saleté qu'ils chiquaient!

Aussi peu crédible que soit cette explication, elle a l'avantage de les rassurer. Il s'endorment tant bien que mal sur la plage.
Au petit matin, alors que la brûme est tombée, vous appercevez des habitations rupestres au loin. vous remarquez également qu'au loin une rangée des visages de pierre suivent tous la même direction du regard.

Après avoir scruté l'horizon dans la direction que semblent fixer les statues, et à moins que quelque chose d'important n'apparaisse par là, Görn réveille les deux techniciens et les convainct de faire route vers le village afin de se renseigner plus avant sur leur situation.
Görn porte toujours son armure et semble très mal à l'aise dans cette situation plus qu'imprévue...

Vous avancez vers le village. Un viel homme sur un banc à l'entrée du village semble vous guetter. Mais tandis que vous n'êtes plus qu'à quelques mètres, tu remarque que son regard est aussi vide de vie que celui du capitaine (qui doit toujours être dans la cabine du navire).

Alors que vous pénètrez dans le village à proprement dit (un ensemble d'une dzaine de bâtiments circulaire formant un cercle autour de la place centrale), vous ne trouvez âme qui vive. Juste quelques oiseaux raides mort et un chat ayant subi le même sort. il n'y a personne en rue et la ville est vide de tout son. Un silence insuportable...

Les deux technicien repèrent le bâtiment des communication radio de loin mais veulent absolument quitter ce village.

"Ecoutez, les gars, j'ai une mission et vous aussi. Moi, j'ai promis de protéger les innocents... enfin, les gars comme vous, quoi... ben oui, même les innocents pas très innocents, en fait! Haha! (tâchons de détendre l'atmosphère!)... j'ai promis et je tiendrai parole... faites-moi confiance, on ne vous fera pas de mal! Quant à vous, vous devez rétablir les communications radio avec le monde extérieur, ne serait-ce que pour appeler de l'aide afin qu'on vienne vous chercher. Vous n'avez pas envie de rester ici à vie, si?"
Il y a des gars que l'on n'écoute que d'une oreille distraite quand ils vous gueulent dessus. Görn, lui, fait partie de ceux que l'on craint même quand ils murmurent... Il savait que le ton qu'il avait choisi, entre le conseil amical et la menace lourde de conséquences aurait son petit effet.
Pendant son laïus, Görn se concentrait sur l'éventuelle présence d'un cosmos dans les environs... après tout, il n'était pas là par hasard, si?
La mort planait sur l'île mais pas cette mort chaude et infernale qu'il connaissait bien. Non, ici, elle était froide, rigide, figée... inconnue et menaçante.
Qu'on lui donne un ennemi, un vrai... il n'avait pas l'intelligence d'un enquêteur et n'avait aucun sens logique. Il le savait et le déplorait souvent. Depuis qu'il était Chevalier, il se faisait l'impression d'un puissant imbécile et ça le frustrait énormément!

Les deux techniciens, tétanisés, acceptent de pénétrer dans le bâtiment. celui-ci est plus grand que les autres et, chose le distinguant des autres, posssède un plancher de béton.

La salle de communication est intacte. Mais le technicien est assis le ragrd vide le casque de communication encore sur les oreilles. Lui aussi est mort. Son assitant est allongé sur le sol dans le même état.

Lake:
Je... hé bien on sait pourquoi ça ne répondait pas... On va essayer de contacte run navire dans le coin.


Un bruit metalique se fait entendre dans ce qui semble être le débara. En passant la tête par la porte laissée ouverte, tu peux appercevoir une trape dont la présence est trahie par la poussière qu'elle a soulevé.